Le mal de dos est souvent qualifié de “ Mal du siècle ” et est responsable en France de 110 000 arrêts de travail d’une durée moyenne de 33 jours, soit 3,5 millions de journées perdues.
Sur une année, 35 à 50% de la population auront une douleur lombaire.
La lombalgie est donc devenue un problème de santé publique en France comme dans l’ensemble des pays industrialisés et entraine un coût sociétal supérieur à plusieurs milliards d’euros par an.
La proportion n’a fait qu’augmenter ces 20 dernières années. Deux décennies pendant lesquelles cette pathologie a changé de visage. Aujourd’hui, les personnes qui en soufrent sont moins des travailleurs de force que des travailleurs statiques, bricoleurs du dimanche et autres stressés de la vie moderne.
Le mal de dos peut avoir de nombreuses causes (obésité, stress, travaux physiques, activités sportives, vieillissement de la population,…) et dépend de la morphologie et des activités de chacun (jeunes ou vieux, hommes ou femmes). Les douleurs lombaires sont les résultantes des pathologies comme le lumbago, la sciatique, l’arthrose, la hernie discale, etc. Toutes ces causes peuvent entraîner une atteinte du disque intervertébral qui est le siège d’une dégénérescence, source de douleur chronique.
Pour un patient souffrant de lombalgies, il existe de nombreuses possibilités thérapeutiques : période de repos, anti-inflammatoires ou relaxants musculaires, injections de cortisone, séances de kinésithérapie. Mais face à ce mal du siècle, de nombreux patients doivent recourir à la chirurgie.
Heureusement les techniques ont évolué et des progrès importants ont été réalisés dans le cadre de la chirurgie du dos !
Il existe aujourd’hui un centre d’expertise qui prend en charge le mal de dos sous toutes ses formes.
L’Institut Parisien du Dos, regroupe des praticiens spécialisés dans la prise en charge des pathologies rachidiennes – hernie discale lombaire , canal lombaire et cervical étroit, scoliose et déformation rachidienne, tumeur vertébrale, traumatisme rachidien (fracture ostéoporotique), arthrose – . Il est le premier centre privé pluridisciplinaire dans Paris intra-muros.
Cet institut est constitué de chirurgiens orthopédistes, tous formés à la chirurgie mini-invasive, de rhumatologues, de radiologues diagnostics et interventionnels, de neurologues, de kinésithérapeutes et de médecins spécialisés dans la prise en charge des problèmes de dos.
Dès la première consultation, l’équipe médicale et chirurgicale, en totale concertation, diagnostique, traite et prend en charge le patient. Sur place, il bénéficie d’examens médicaux immédiats (radiographie, scanner et d’une IRM) permettant d’orienter le diagnostic, de le traiter rapidement (médicalement, ou par des infiltrations sous contrôle radiologique) et de l’opérer si nécessaire.
L’institut Parisien du Dos est une association (loi 1901), dont les membres sont conventionnés par la Sécurité Sociale.
Les avantages du centre
- De proposer une « réunion d’excellence »
- D’optimiser les compétences de chaque spécialiste
- De réaliser un diagnostic en 72h
- D’offrir un plateau technique ultra moderne
- D’utiliser un matériel radiologique de pointe
Le palmarès des Cliniques Privées 2010, publié par le magazine Le Point, en juin 2011, a classé la clinique Geoffroy Saint-Hilaire dont fait partie l’Institut Parisien du Dos, premier établissement sur Paris pour la chirurgie de la colonne vertébrale.
Grâce à sa structure et à ses praticiens hyperspécialisés, l’Institut Parisien du Dos offre aujourd’hui les techniques les plus pointues et les plus modernes et particulièrement la chirurgie mini-invasive qui interviendra en cas d’échec d’un traitement médical optimal.
La chirurgie mini invasive
La chirurgie mini-invasive peut être utilisée pour les mêmes indications que la chirurgie conventionnelle.
Grâce à l’évolution des techniques moins invasives (cœlioscopie, chirurgie robotisée), et du matériel opératoire et plus particulièrement de l’endoscopie , elle améliore nettement le confort du patient.
La chirurgie traditionnelle impose de faire des incisions larges pour accéder aux organes et aux tissus, ce qui n’est pas sans conséquence pour le patient (saignements, douleurs, cicatrices, risques infectieux …)
La chirurgie mini-invasive qui est une réelle avancée, permet de préserver la mobilité du rachis et de diminuer la taille de l’incision.
Le chirurgien essaie de ne pas abimer les structures musculaires, ce qui entraine moins de séquelles et de douleurs ressenties.
Cela réduit les pertes sanguines pendant et après l’intervention,
Le patient reste moins longtemps hospitalisé ce qui représente une réelle économie en termes de coût hospitalier.
La reprise des activités est plus précoce.
Il est même possible d’opérer sans hospitaliser ! C’est donc une véritable amélioration pour patients !
Il existe aujourd’hui de nombreuses pathologies qui peuvent être traitées par la chirurgie mini-invasive. Les plus fréquentes d’entres elles sont :
- Les hernies discales dont souffrent des jeunes adultes et les sportifs ;
- Les fractures ostéoporotiques qui sont très fréquentes chez les femmes âgées du fait de l’ostéoporose non-traitée ;
- Un canal lombaire étroit, ou de spondylolisthésis lombal ;
- Mais aussi les cas de dégénérescence discale, de chirurgie tumorale.
L’Institut Parisien du Dos a pour mission d’optimiser au mieux la prise en charge des patients souffrant d’une pathologie rachidienne.